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L’évaluation était commanditée par le Forum des organisations issues des migrations (FORIM - plateforme française), et elle répondait à la volonté du FORIM d’assurer une information objective sur la bonne utilisation des fonds mis en œuvre sur le programme financé par le Ministère français des affaires étrangères mais aussi de mieux connaitre les partenariats engendrés et tirer les leçons des interventions réalisées. Autrement dit, l’évaluation devait répondre à un triple objectif : - Un objectif de redevabilité : permettre de tirer un bilan quantitatif du programme en analysant l’utilisation des fonds octroyés par le MAEDI, - Un objectif plus qualitatif : analyser, de manière fine, la réalité des partenariats développés par les Organisations de solidarité issues de Migrations (OSIM) en France et dans les pays d’origines des migrants (équilibres/déséquilibres entre les partenaires, motivations diverses, perceptions du partenariat par chacun, diversité des partenariats, évolutions…), les effets de ces partenariats sur les projets de développement local cofinancés par le Programme, ainsi que les effets du programme (dans ses différents volets : appels à projets, renforcement des capacités…) sur ces partenariats. - Sur ces 2 volets, élaborer des propositions pour l’avenir afin d’apporter des améliorations au dispositif du programme d'appui aux OSIM (PRA/OSIM), avec un focus particulier sur son rôle de facilitateur/ incitateur de partenariats.
Les travaux réalisés dans le cadre de l'évaluation ont été de différentes natures : 1. Un travail technique, descriptif, de recueil de données sur les partenariats « multi-acteurs » des OSIM en France et dans les pays d’origine : - une revue bibliographique a été effectuée d'une part, avec l'analyse des documents de projets, celle des documents de capitalisation produits par le FORIM, rapport de mission, etc… - Ensuite des échanges ont été organisés, dans le cadre d'ateliers de groupe et d'entretiens individuels, avec des organisations issues de migrations, ainsi qu'avec leurs opérateurs d'appui, en France. - Enfin, un recueil de données et des échanges ont eu lieu sur le terrain : au Mali (mission d'un expert sur place), à Madagascar et en Tunisie (en mobilisant des experts locaux partenaires). 2. sur la base de ce recueil de données, un travail analytique d’appréciation, de production du jugement évaluatif sur la nature des partenariats, le renforcement des compétences des OSIM. 3. enfin, un travail stratégique, prospectif, avec de la production de recommandations de différents ordres (stratégiques et opérationnelles) à destination du FORIM, de ses membres et de ses partenaires. Ce travail s'est terminé par la production d'un rapport d'évaluation, intégrant les recommandations produites et discutées avec le FORIM et ses partenaires.
Brésil
Dans le cadre de la FISONG 2013 sur l’éducation et la formation professionnelle, l'AfD a souhaité réaliser une étude de Capitalisation des actions de formation-insertion des jeunes conduites par des Organisations Non Gouvernementales. La finalité de la capitalisation est de contribuer à alimenter les échanges, les débats et la réflexion entre acteurs engagés dans la formation par alternance et l’insertion des jeunes. Son enjeu est de contribuer à définir les modes d’intervention dans ce domaine par les ONG mais également par les autres intervenants (coopérations bi et multilatérales, coopération décentralisée, autres acteurs non étatiques).
L'étude se déroule en 3 étapes déclinées comme suit: - Analyse documentaire sur les questions de formation et d’emploi dans les pays du Sud, tant en milieu urbain qu’en milieu rural, et sur les différents continents; Entretiens et visites de terrain Europe: personnes-ressources intervenant dans le domaine de la formation et de l’insertion des jeunes (praticiens et bailleurs de fonds, chercheurs et universitaires, personnes mobilisés dans les réseaux et plateformes; - Étude de terrains au Sud: Afrique de l'Ouest (Côte d'Ivoire, Mali, Sénégal), Afrique Centrale, Afrique de l'Est, Maghreb, Amérique Latine, Asie. Visites de dispositifs, entretiens individuels et collectifs, focus groupes et ateliers, ateliers finaux de restitution pays. - Synthèse et restitution de l'étude. La mission de capitalisation est pilotée par le comité de pilotage mis en place par l’AfD et réunissant les représentants de l’AfD et des ONG
Haïti
Nicaragua
Le Service National de l’Eau Potable (SNEP) a bénéficié d’un prêt de la Banque Interaméricaine de Développement (BID), d’une valeur de 15 millions de $US, pour l’étude et la réalisation de réseaux d’eau potable et de systèmes d’assainissement dans les zones rurales de 4 départements. La Grande Anse est le premier département où les études de faisabilité ont été menées avec succès par le Groupement HYDROCONSEIl-IRAM-INESA. Le Groupement s’est vu confier l’accompagnement de la mise en place des systèmes d’adduction d’eau potable et d’assainissement. L’objectif est d’équiper 20 localités (moins de 10.000 habitants) soit en construction, soit en réhabilitation de systèmes d’eau potable, accompagnées de réalisations dans le domaine de l’assainissement avec des latrines familiales et collectives, de la sensibilisation, etc.
L’objectif de la prestation de service est d’appuyer le Service national de l’eau potable et l’assainissement d’Haïti a expérimenter et a mettre en œuvre 20 systèmes d’Adduction d’Eau Potable (AEP) dans le département de la Grande Anse (Jérémie). Le rôle de l’IRAM au sein du Groupement Hydroconseil-IRAM-INESA est de fournir une assistance technique sur l’Ingénierie sociale et environnementale. Concrètement, il s’agit : - d’apporter un diagnostic socio environnemental au SNEP, - de contribuer à dérouler avec le partenaire haïtien INESA l’accompagnement de la mise en place des institutions de gestion, - d’assurer des schémas de formations adaptées aux institutions haïtiennes, - de suivre un certains nombre d’indicateurs socio économiques sur le terrain, - et de recueillir les enseignements de l’expérimentation (couplage entre des comités d’usagers et un opérateur responsable de l’exploitation des AEP sous contrat de bail ou d’affermage) selon la taille des systèmes (bourg rural, petite ville). L’assistance technique proposée se compose d’un expert court terme qui suit régulièrement les différents partenaires dans la mise en œuvre des AEP et dans l’accompagnement des structures de gestion (CAEPA).
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